Mois : mai 2017

Tea Time au Prince de Galles – CONCOURS

Il y a quelques semaines, je suis allée tester le Tea Time du Prince de Galles et pour l’occasion j’ai emmené ma petite maman. L’idée était de pouvoir lui montrer un peu plus mon univers et de vivre avec elle un moment de mon quotidien que je n’ai pas toujours l’occasion de partager avec mon entourage. Si c’était la première fois que je testais le Tea Time du Prince de Galles, c’était surtout la première fois pour ma mère, qui n’avait encore jamais mis les pieds dans un palace parisien. J’avais envie de lui montrer que malgré les apparences et les idées préconçues, tout le monde, j’ai bien dit tout le monde, peut venir profiter d’un moment comme celui-ci. On a souvent le sentiment que les grands hôtels parisiens ne sont pas fait pour nous, qu’on n’y trouvera pas sa place, mais bien au contraire, s’il y a bien un endroit qui nous fait sentir comme chez nous c’est bien le Prince de Galles. Un accueil très chaleureux, un service au petit soin, et ce, que l’on soit client de l’hôtel ou non. A peine la porte d’entrée passée, on se sent à l’aise et prêt à vivre un très bon moment. C’est donc le sourire aux lèvres et les papilles en alerte que nous nous sommes installées à notre table pour vivre le Tea Time le plus gourmand et généreux de notre vie !

J’avais déjà eu l’occasion et la chance de venir gouter les pâtisseries et desserts de Nicolas Paciello, chef pâtissier du Prince de Galles, mais je n’avais encore jamais passé l’épreuve du Tea Time (et ce n’est pas faute d’y avoir beaucoup pensé). Grande fan de son travail et du nouveau souffle qu’il a apporté au Prince de Galles, j’avais vraiment hâte de découvrir son offre. Une information importante que je dois, selon moi, vous donner tout de suite, c’est le prix de ce Tea Time. Car oui, quand on parle palaces parisiens, on pense tout de suite qu’on va craquer son PEL à peine assis dans son siège. Et bien détrompez-vous ! Certes ce n’est pas forcément à la portée de tout le monde et de toutes les bourses de dépenser une certaine somme d’argent pour (généralisons) un “goûter” mais très sincèrement je trouve que le prix est totalement honnête par rapport à la quantité et la qualité des produits proposés. L’offre du Tea Time est donc à 48 euros par personne ou 90 euros pour 2. Et autant vous le dire tout de suite, ça vaut TRÈS largement le coup.
Je vous explique pourquoi :

Gourmand et généreux, le tea time du Prince de Galles se déroule en 3 temps. Pour commencer le service “traditionnel” dans lequel on retrouve les grands classiques du tea time : scones et tea sandwiches ! Si le célèbre cucumber sandwich ne manque pas à l’appel, le joli damier de petits pains de mie est aussi constitué de saveurs aux notes françaises : poulet – tomate – moutarde de Meaux ou le fameux jambon – beurre – comté. Les scones sont comme il se doit servis tiède avec confiture, marmelade et le traditionnel Devonshire clotted cream. Et pour la petite touche d’originalité, Nicolas Paciello propose 2 versions : une version nature classique et une autre parfumées à la pistache et au thé Earl Grey.

Pour le second service, place au raffinement et à la subtilité des créations de Nicolas Paciello proposées sur une base en chocolat supportant trois pâtisseries signatures. Une proposition qui change au fil de l’année, mais qui est toujours construite autour du même trio : le chocolat, le fruit de saison et la pâte à choux. Pour notre part, nous avons eu le droit à une délicieuse tartelette à la framboise, un éclair à la pistache, et une création chocolat au coeur praliné. Autant vous dire qu’à ce stade on est juste émerveillé par la beauté de ces pâtisseries, la justesse des saveurs et l’alliance des goûts. C’est une parfaite illustration de ce que j’aime tant dans le travail de Nicolas. Une sélection élégante et équilibrée, et un condensé parfait du savoir-faire du chef !

Enfin pour le troisième service, le Prince de Galles fait hommage à la tradition française avec son généreux chariot de gourmandises. Madeleines au miel, chouquettes aériennes, le traditionnel Kouglof, financiers à la framboise, moelleux au citron mais aussi d’autres petites merveilles comme les minis brownies ou les fameux petit cookies chocolat – pécan (ne repartez JAMAIS sans avoir mangé ces délicieux cookies !)
Et si, arrivé à ce troisième round vous n’avez plus de place, n’hésitez surtout pas à demander un petit doggy bag que les serveurs seront ravis de vous faire (surtout n’ayez pas honte de le demander, bien au contraire).

Voilà pour résumer, ce Tea Time en compagnie de ma maman fut une véritable réussite. Nous avons tout adoré du début à la fin et avons même eu la chance de croiser Nicolas Paciello qui est venu nous rendre une petite visite à notre table. Donc si vous hésitiez encore à venir tester ce tea time, j’espère que mes photos et mon récit aurons fini de vous convaincre à franchir le pas !

 

CONCOURS 

A l’occasion de la fête des mères, le Prince de Galles et moi même avons décidé de vous gâter en vous offrant la possibilité de gagner un Tea Time pour vous et votre maman.

Pour participer, il vous suffit de laisser un commentaire sous cet article en me disant ce que votre maman fait de mieux !

Vous avez jusqu’au Dimanche 4 Juin minuit pour participer. Le gagnant sera tiré au sort parmi les commentaires et annoncé sur ce même article.
A noter que le gagnant pourra choisir la date de son Tea Time, donc même les non parisiens peuvent participer et s’organiser pour venir 😉

Good luck !

 

CONCOURS TERMINÉ

Avant d’annoncer le grand gagnant de ce concours spécial Fête des mères, je voulais tous vous remercier pour votre participation. Vous avez été nombreux et nombreuses à me partager ces petites anecdotes avec vos mamans, qui m’ont parfois fait rire ou même donné la larmichette. Donc sincèrement merci. Merci aussi d’être chaque jour un peu plus nombreux par ici et de continuer à lire mes petites aventures.

Maintenant le moment tant attendu est arrivé… le gagnant du Tea Time pour 2 est donc :
Chère Laurence, je vous envoie un petit mail dans la journée.
Et encore merci à tous pour vos participations, je reviens très vite avec un nouveau concours.
Cette fois sur Instagram… stay tuned !

Les chefs font leur cinéma – Acte 2

Pour la quatrième année consécutive, Nespresso, partenaire officiel du festival de Cannes et de la Semaine de la critique, a investi la plage de la croisette pour y installer son restaurant éphémère. Pour ceux qui suivent mes petites aventures sur Instagram, vous avez pu voir que j’avais, cette année encore, eu la chance de m’envoler vers Cannes pour participer à cet évènement culinaire unique ! Si l’année dernière j’ai pu participer au dîner mené par Jean-François Piège, cette année j’ai eu le privilège d’être conviée à celui du grand Pierre Gagnaire.

Vous n’imaginez même pas l’état d’hystérie totale dans lequel j’étais lorsque j’ai appris que j’allais pouvoir goûter à la cuisine de ce grand chef que j’admire depuis des années et que j’allais (attention roulement de tambours…) pouvoir le rencontrer et même avoir une petite entrevue avec lui. Moment de stress intense et surtout d’humilité lorsqu’on sait ce que représente Pierre Gagnaire pour le monde de la cuisine.

Bref, c’est donc avec des étoiles pleins les yeux et des papillons dans le ventre que je me suis envolée pour Cannes vendredi dernier. A peine atterri, direction l’Okko Hôtel pour déposer ma valise avant de partir en direction de la Plage Nespresso. Pour celles et ceux qui ne connaitraient pas encore les hôtels Okko, je vous conseille de vite aller jeter un oeil sur leur site internet. Décoration léchée, minimaliste, design et colorée, tout en se sentant comme à la maison, bref un hôtel comme je les aime. Après avoir fait le tour du propriétaire, j’enfile mes lunettes de soleil, accessoire indispensable à Cannes et je me dirige vers la Plage Nespresso.

Je vous parlais de décoration design et léchée à l’Hôtel Okko mais on peut dire que c’est le mot d’ordre aussi sur la plage Nespresso. Sûrement l’espace le plus design et travaillé de la croisette ! C’est dans ce cadre idéal, juste au bord de l’eau que je profite d’un bon déjeuner avant de me rendre à l’Espace Miramar pour assister à la projection du film Sicilian Ghost Story de Fabio Grassadonia & Antonio Piazza sélectionné pour la Semaine de la critique. Pour la petite histoire, il s’agissait du deuxième film de ces réalisateurs, qui ont gagné le Grand Prix Nespresso et le Prix Révélation France 4 à la Semaine de la Critique en 2013. Ces prix leur ont permis de projeter leur film à travers leur pays d’origine l’Italie alors même qu’il n’avait pas réussi à trouver de distributeur avant cela. Comme quoi Nespresso, ce n’est pas que du café ! L’entreprise participe aussi a de nombreux projets comme la semaine de la Critique, qui permettent d’encourager, de faire connaître et de mettre en lumière des talents à travers le monde.

Une fois la projection terminée, retour à la plage Nespresso pour vivre l’un des moments les plus fous de ma vie : ma rencontre avec Pierre Gagnaire. Si je trouve déjà assez dingue qu’un chef d’une telle renommée prenne le temps de rencontrer une passionnée de cuisine comme moi, la gentillesse du personnage et sa simplicité m’ont tout simplement désarmé. Après quelques balbutiement et une forte intimidation, je me lance et ose lui poser la première question qui me brulait les lèvres : « Pourquoi avoir accepté ce partenariat avec Nespresso ? » Car oui dans beaucoup d’esprit encore, Nespresso ne représente qu’une grande entreprise internationale qui a décidé de gagner de l’argent en faisant du café. Sauf que derrière la multinationale, il y a aussi de grands engagements et un travail qui a plu au chef. Non seulement Pierre Gagnaire à l’habitude de travailler le café, mais il trouve également que les produits Nespresso sont d’une grande qualité. Il a également un lien très fort avec Cannes puisque le chef collabore avec le Fouquet’s pour qui il a élaboré une nouvelle carte, plus moderne et inventive. Et bien sur il ne faut pas oublier que Pierre Gagnaire, aime beaucoup le cinéma, donc pourquoi ne pas tenter cette belle aventure avec Nespresso au festival me direz vous ?

Ma deuxième question concernait son choix quant au menu qu’il allait nous présenter le soir même. Le principe de l’évènement « Les chefs font leur cinéma » est que chaque chef crée un menu complet autour d’un film qu’il aime. Cette année, pour renouveler un peu l’opération, les chefs devaient, non pas choisir un film, mais un réalisateur et imaginer un menu autour de leur univers. Pierre Gagnaire a choisi de s’inspirer du réalisateur Claude Sautet. Pourquoi ce choix ? Sans doute parce qu’il a revu les films de Sautet cet été et qu’il a instinctivement eu envie de lui rendre hommage. Les films de Sautet sont représentatifs d’un monde disparu qui est celui de la jeunesse de Pierre Gagnaire. Ils sont aussi tellement justes qu’il franchissent les époques. Pierre Gagnaire a réalisé que la cuisine et le cinéma  ne sont pas si éloignés. Comme lui, la cuisine permet de raconter des histoires, d’aimer, d’être aimé et respecté. J’étais déjà fan de Pierre Gagnaire mais autant vous dire qu’après cet échange je suis tout simplement tombée amoureuse de la simplicité de ce chef au grand coeur. Une fois notre discussion terminée, je laisse le chef retourner en cuisine pour terminer ses préparations pour le dîner qui allait suivre.

© Emmanuel Nguyen Ngoc

De mon coté, je profite de mes quelques heures avant le dîner pour retrouver la pétillante Cécile du blog Royal Chill qui m’emmène découvrir la nouvelle Pâtisserie Intuitions du chef Jérôme de Oliveira. Et ça tombait plutôt bien puisque j’allais retrouver le chef le lendemain matin pour un délicieux petit déjeuner dont je vous reparlerai plus tard 😉 Après quelques petites pâtisseries et un bon thé, je quitte Cécile et retour à l’hôtel pour prendre une petite douche et me prépare avant le dîner.

21h30 pétante, je quitte ma chambre avec ma jolie tenue Wear Lemonade (mille mercis Lisa pour tes conseils) pour retrouver de nouveau la Plage Nespresso et le dîner tant attendu ! Accueilli par un groupe de musique Jazz et un bon petit cocktail au café, je prends place à table pour ce qui allait être l’un des dîners les plus surprenants de ma vie.

© Emmanuel Nguyen Ngoc

Au menu :

  • Melon, tomate, pastèque, fraises au Campari, burrata rose et amandes fraiches. Comme la sensation de déguster un cocktail. Un amuse-bouche étonnant et détonnant !
  • le fameux bouillon Zezette accompagné de gnocchi verts, strozzapreti et dim-sum de tourteau. Tout simplement mon plat préféré de la soirée. D’une justesse inouïe et surtout délicieusement bon. Je pense que je pourrai en manger tous les jours sans jamais m’en lasser.
  • Pâté chaud de veau Pitchi. Ultra traditionnel et hyper réconfortant. Tout ce qu’on attend d’un plat inspiré du l’univers de Claude Sautet.
  • Croquant glacé à la vanille, Tahaa, asperge verte, morilles au caramel ou comment Pierre Gagnaire réécrit totalement tout ce que tu pensais savoir sur  la cuisine. Si ce plat n’a pas été mon coup de coeur de la soirée, il aura été une véritable découverte. Cette association chocolat/glace – asperge/morille était complètement déstabilisante et fascinante.

 

Tout le menu était accordé de vins sélectionnés par Fabrice Sommier, Meilleur ouvrier de France 2007 et sommelier de Georges Blanc.

Le dîner terminé, le chef félicité et embrassé (et ouais les gars, j’ai claqué la bise à Pierre Gagnaire) il était temps de se diriger doucement vers l’hôtel pour une bonne nuit de sommeil avant de retrouver un autre chef pour le petit déjeuner.

Grande nouveauté pour cette 4ème session de la Plage Nespresso : le petit déjeuner avec vu sur mer. Cette année, Nespresso a vu les choses encore plus grand en proposant à ses invités de prendre part à un délicieux petit déjeuner concocté par le champion du monde de pâtisserie 2009, j’ai nommé Jérôme de Oliveira. Si la gentillesse de Pierre Gagnaire avait fait son effet la veille, celle de Jérôme de Oliveira fonctionne tout autant. C’est avec une gentillesse et un charme désarmant que le chef nous reçoit à l’étage de la Plage Nespresso pour un réveil tout en douceur. Le pâtissier nous a préparé un florilège de ce qu’il fait de mieux : brioche aux pralines (les origines lyonnaises du chef oblige), les fameux bubble cake, une délicieuse mousse de fromage blanc, aloevera et fraise, des viennoiseries et sa sublime tarte confidence au café. Le tout accompagné d’un délicieux café Vertuo of course ! C’est donc entourée de toutes ces patisseries, de la mer et du soleil que j’ai profité de mes dernières heures sur la croisette avant de rentrer à Paris.

Je remercie une nouvelle fois Nespresso et surtout l’Agence 14 Septembre (Joy, Tiff, Thomas, Julien et Alexandre) de m’avoir cette année encore offert la chance de participer à ce merveilleux évènement. Bravo aussi à toute l’équipe de l’agence Ebullition qui s’occupe d’une main de maître de l’organisation et la mise en place de cette Plage Nespresso ! Et bien sur un grand merci aux chefs qui ont pris le temps de prendre part à cette opération et d’échanger avec nous.

Bisous Cannes à l’année prochaine !

Salade de printemps

Bon même si cela ne se voit pas vraiment quand on regarde le ciel en ce moment, c’est bien le printemps ! Et qui dit printemps, dit retour de tous ces légumes qu’on adore : les asperges, les petits pois, les fèves, etc… Je ne sais pas vous mais moi en ce moment je ne fais qu’en cuisiner et en manger. Je profite à fond de cette période assez éphémère pour tester de nouvelles recettes. Cette fois-ci j’ai décidé de me préparer une bonne salade de printemps, idéale pour les petits pique-niques du weekend ou à emporter au bureau pour le déjeuner.

La création de cette recette était également l’occasion de tester mon tout nouveau cuiseur Multicook & Grains de Moulinex. Alors si au premier abord je n’étais pas une grande fan de ce type de robot ménager qui a tendance à tout faire à notre place, je vous avoue qu’avec ce multicuiseur j’ai assez vite changer d’avis. Exemple frappant : on ne va pas se mentir on à tous un jour galéré à cuire du quinoa. (Allez ne fait pas semblant, je sais que toi aussi derrière ton petit écran tu as vécu ce grand moment de solitude… haha) Soit il n’est pas assez cuit, soit c’est une énorme bouillie, bref une vraie galère !! Mais avec ce tout nouveau cuiseur spécialement adapté à la cuisson des graines Moulinex frappe très fort et j’ai été assez bluffée du résultat. Le multicook & grains dispose de 22 programmes spécialement conçus pour la préparation et la cuisson des céréales et légumineuses. Détail encore plus intéressant, il propose 4 options de cuisson des céréales et légumineuses qui permettent d’adapter la texture des graines ou des céréales selon nos préférences. Donc plus besoin de rester planter à côté de la plaque de cuisson pour surveiller notre quinoa, et le gouter toutes les 5 minutes pour être sûre de la texture, le multicuiseur s’occupe de tout. Pour faciliter encore plus les choses, l’interface d’utilisation est plutôt simple et intuitive. Une fois qu’on a survolé le petit guide d’utilisation, la prise en main se fait toute seule. Et le plus merveilleux dans l’histoire c’est qu’en plus de ces 22 programmes de cuisson des graines, le multicook propose également 60 programmes classiques pour réaliser cuisson à la vapeur, risotto, mijoté, wok, soupe, et même des modes de cuisson pour la pâtisserie : pâte levée, dessert ou encore yaourt et confiture. En plus de proposer une multitude d’options de cuisson, ce multicuiseur permet aussi de gagner du temps en cuisine, grâce à des cuissons plus rapides. Mais que demander de plus franchement ?!!

En tant que cuisinière qui aime tout faire soi-même, à la main (limite méthode à l’ancienne haha) je ne vais pas vous mentir en vous disant que j’étais assez septique sur l’acquisition et l’utilisation d’un tel multicuiseur. Et bien après avoir testé plusieurs modes de cuisson pour mes recettes, je suis plutôt ravie de l’avoir à la maison maintenant. Il facilite certaines étapes de réalisation de mes recettes sans pour autant tout faire à ma place. Et c’est ce que j’ai pu expérimenter avec ma recette du jour. Je vous ai préparé une jolie recette de salade de quinoa, sarrasin, pointes d’asperges, petits pois, fèves, ricotta, framboises et menthe. Et oui rien que ça ! J’ai pu profiter des différentes options du multicook pour réaliser la cuisson des graines : quinoa et sarrasin, mais également de mes asperges, petits pois et fève. Il ne me restait ensuite plus qu’à assembler tous les éléments et à assaisonner le tout pour obtenir cette petite recette printanière dont vous me donnerez des nouvelles. Pas de panique, pour toutes celles et ceux qui (comme moi il y a encore quelques jours) ne possèdent pas de multicuiseur, je vous donne aussi la méthode pour tout réaliser avec vos petites casseroles.

Ingrédients pour 2 personnes :
• 100g de quinoa
• 100g de sarrasin
• 80g de petits pois
• 80g de fèves
• 70g de pointes d’asperges
• 50g de ricotta
• Un dizaine de framboises
• Quelques feuilles de menthe
• 5 c. à soupe d’huile d’olive vierge
• 3 c. à soupe de vinaigre de framboise
• le jus d’un demi citron vert
• fleur de sel
• poivre

Préparation :
Avec le multicuiseur :
Torréfier les graines de sarrasin à l’aide du programme Wok pendant 5 minutes à 160°C.
Une fois le sarrasin torréfié ajouter le quinoa et 600ml d’eau dans la cuve et démarrer la cuisson avec le programme quinoa en texture quick (temps de cuisson automatique).
Au terme de la cuisson, égoutter les graines s’il reste un peu d’eau puis les mettre à refroidir étalées sur une plaque.
Nettoyer la cuve puis sélectionner le programme soupe et cuire à l’eau bouillante salée les pointes d’asperges, les petits pois et les fèves pendant 10 minutes. Lorsque la cuisson est terminée, plonger les légumes dans un saladier d’eau glacée. Cela permettra de maintenir la jolie couleur verte.

A la casserole :
Torréfier légèrement les graines de sarrasin à la poêle pendant 5 minutes à feu doux.
Dans une casserole, verser le quinoa, le sarrasin et deux fois leur volume d’eau.
Porter à ébullition, baisser sur feu doux et laisser cuire à couvert pendant 15 minutes.
Couper le feu et laisser reposer à couvert encore 10 minutes.
Verser les graines sur une plaque et laisser refroidir complètement.
Porter à ébullition une casserole d’eau salée, verser les pointes d’asperges et faire cuire un dizaine de minutes. (elles doivent rester légèrement croquantes). Une fois cuites plonger les asperges dans un saladier d’eau glacée.
Réitérer l’opération avec les petits pois pendant 8 minutes et les fèves pendant 3 minutes.

Mélanger dans un bol l’huile d’olive, le vinaigre de framboise et le jus de citron vert.

Une fois tous les éléments de la recette à température ambiante, commencer l’assemblage.
Verser dans un saladier le quinoa, le sarrasin, les pointes d’asperges, les petits pois et les fèves.
Mélanger délicatement.
Verser ce mélange dans des assiettes ou des bols.
Parsemer de ricotta émiettée et de quelques framboises.
Verser la vinaigrette, saler, poivrer et ajouter quelques feuilles de menthe.

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