Cela va peut-être vous étonner mais l’automne est ma saison préférée de toutes ! Bon cela a peut-être à voir avec le fait que je suis née en octobre… mais pour moi la vraie raison c’est parce que c’est la saison de tous mes ingrédients préférés : les pommes, les poires, les noisettes, les châtaignes, les champignons, et puis surtout… les courges !! J’attends cette période avec impatience chaque année pour préparer de nouvelles petites recettes réconfortantes à l’image de celle que je vous propose aujourd’hui. J’ai une grosse passion pour les babkas (comme beaucoup d’entre nous je pense haha), il était donc obligatoire pour moi de fusionner mon amour pour les courges à celui des babkas pour en faire une délicieuse recette. Je vous laisse donc en compagnie de cette Babka à la courge, à la fois gourmande, réconfortante, mais pas trop sucrée (vous pourrez donc la tartiner de bonnes choses, lorsque vous aurez besoin d’une très grosse dose de réconfort). J’espère qu’elle vous plaira autant qu’à moi.
Pour celles et ceux qui me suivent sur Instagram, vous avez pu voir que début Juillet j’ai eu la chance de me rendre en Italie, plus précisément à Asiago pour découvrir l’envers du décor de la fameuse marque Rigoni di Asiago. Une entreprise familiale à taille humaine derrière la désormais célèbre Nocciolata, vous savez cette délicieuse pâte à tartiner au bon goût de noisette.
Ce petit voyage inaugurait ma collaboration avec la marque, puisque j’ai la chance d’être aujourd’hui « ambassadrice » de la Nocciolata Bianca. Et autant vous dire que j’en suis ravie car la Bianca, est tout simplement ma pâte à tartiner préférée de la gamme Nocciolata. Une pâte à tartiner bio, comme tous les produits Rigoni di Asiago, riche en noisettes et terriblement addictive.
Bref, en tant qu’ambassadrice, je vais avoir la joie de vous proposer quelques recettes pour déguster votre Nocciolata Bianca autrement.
Pour cette première recette qui sent bon la rentrée des classes, c’est un aller-retour direct pour l’enfance avec un biscuit que j’adorais dévorer en rentrant de l’école petite : les lunettes. Un sablé originaire de la Drôme et qui serait en réalité un dérivé d’un biscuit Italien (le milanais) dont la fabrication remonte au Moyen-Âge. Un joli clin d’œil et une façon toute trouvée de faire le lien entre une spécialité française et la jolie marque Italienne Rigoni. Dans ma version, les lunettes ne sont pas garnies de confiture comme le veut la tradition, mais de Nocciolata Bianca, pour encore plus de gourmandise.
Avant de vous laisser avec la recette, j’ai une petite surprise à vous dévoiler. À l’occasion de la « Tournée Gourmande Nocciolata » à travers les recettes typiques de France, Rigoni di Asiago et moi-même avons le plaisir de vous offrir un super Kit Nocciolata pour pouvoir vous régaler et pourquoi pas refaire ma recette chez vous.
CONCOURS TERMINÉ
Pour participer, il vous suffit de : 1. Laisser un commentaire sous cet article en me disant avec quoi on mange la Nocciolata Bianca à St Tropez ? (Indice à retrouver sur le compte @NocciolataFrance 😉 ) 2. De vous abonner au compte @nocciolatafrance et de me laisser votre pseudo en commentaire pour doubler vos chances Vous avez jusqu’au 5 octobre pour participer. Le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses et annoncé ici. Bonne chance.
Grosse passion pour la pêche de vigne par ici. Non seulement parce qu’elle est très bonne avec son petit côté acidulé et sa chair bien juteuse, mais aussi parce qu’elle est magnifique. Couper une pêche de vigne a toujours un petit côté magique pour moi, à chaque fois je découvre avec un certain émerveillement la beauté des couleurs qui se cachent en son coeur. Entre le rouge bien vif, presque sang, et la douceur des touches de blanc. Impossible de ne pas prendre de plaisir à les prendre en photo. Une fois l’oeil rassasié, on passe au fourneau pour préparer un petit crumble tout simple mais bien gourmand.
Qui dit Mardi Gras, dit forcément beignets ! Traditionnellement, ce sont les fameux “beignets de carnaval”, aussi connus sous le nom de “merveilles” vers Bordeaux, “bugnes” dans la région Lyonnaise ou “chiacchiere” en Italie, qui sont préparés à cette occasion. De mon côté j’avoue que j’utilise un peu cette fête comme excuse pour vous partager ma recette de mini donuts. Une recette 2 en 1, puisque pour de pas faire de gâchis, je réalise en plus des donuts, des petits “donuts holes” (littéralement trous de donuts), qui sont préparés à l’aide des “chutes” de pâtes à donuts. Deux recettes complètements addictives et qui se prêtent parfaitement à l’occasion.
Aujourd’hui nous célébrons le Nouvel An chinois. En Asie, et dans toute la communauté asiatique, la fête du Nouvel An est la date la plus importante du calendrier chinois. À cette occasion, les familles se réunissent pour des célébrations qui durent au minimum une semaine. En cette année un peu particulière, où beaucoup de festivités seront malheureusement annulées, l’Office du Tourisme de Hong Kong m’a proposé de vous plonger dans ces célébrations en vous concoctant une recette traditionnelle du Nouvel An. Une recette qui complète un menu à 6 mains de nouveau imaginé avec Anne du blog Papilles & Pupilles et Mégane du blog Meg&Cook.
Mais avant de passer à la recette, mettons nous un peu dans l’ambiance des fêtes. Il y a quelques semaines, Anne, Mégane et moi même avons eu la chance de pouvoir échanger avec le chef Hongkongais Christian Yang. Connu pour ses nombreuses émissions culinaires et son expertise de la cuisine chinoise, Christian a partagé avec nous les traditions du Nouvel An à Hong Kong. Bien plus qu’une simple célébration pour fêter l’arrivée de la nouvelle année, le Nouvel An chinois est surtout un évènement familial de partage, de remerciement, et aussi l’occasion de souhaiter du bonheur et la fortune à chaque membre de la famille pour l’année qui arrive.
Comme nous l’a expliqué Christian, le jour de l’an, aussi appelé « le début du 1er matin », est traditionnellement célébré dans la famille de l’homme. Un grand déjeuner est préparé et dégusté avec les membres de la famille. Il est généralement végétarien, une façon de débuter l’année en purifiant son corps et son esprit. Le déjeuner est suivi d’une visite des proches et autres membres de la famille à qui on présente ses vœux. La tradition veut que ces visites commencent en allant voir les membres les plus âgés. Un autre grand repas est réalisé le lendemain, cette fois-ci dans la famille de la femme. D’autres repas peuvent ensuite avoir lieu chez d’autres membres ou des amis, mais les principaux se déroulent les 2 premiers jours de célébration.
Ces repas doivent être particulièrement généreux, conviviaux et riches car ils symbolisent les repas à venir. Il y a donc beaucoup de nourriture, de fruits et de confiseries sur la table et surtout, la plupart des aliments revêtent une signification particulière. Le poisson et le poulet doivent par exemple être servis entiers. Ils symbolisent ainsi une année pleine, entière, riche. Les nouilles, et leur longueur, symbolisent la longévité. Les kumquats, que l’on dispose généralement en décoration, symbolisent quant à eux la fortune, puisque le mot signifie littéralement « agrume d’or ». On compte aussi généralement un nombre précis de plats servis lors du repas : 8 pour la fortune, 9 pour la longévité, 12 pour symboliser l’année. On évitera surtout d’en servir 4 ou 7 qui sont des chiffres porte malheur.
La recette que j’ai choisi de vous proposer pour ce menu du Nouvel An comme à Hong Kong ne déroge pas à la règle du symbole puisqu’il s’agit de ma version des Yau Gok, des petits dumplings à la cacahuète dont la forme rappelle celle des lingots d’or utilisés comme monnaie par le passé. Ils symbolisent ainsi la richesse, donc plus on en mange, mieux c’est !
Pour le reste du menu, rendez-vous sur le blog d’Anne pour découvrir sa recette de Daurade à l’ail et au gingembre, et sur celui de Mégane pour sa recette des Har gao aux crevettes. On espère que ces recettes vous plairont, et vous donneront une fois de plus envie de faire voyager vos papilles. Et si vous souhaitez en apprendre encore plus sur les traditions du Nouvel An chinois, rendez-vous sur le site de l’Office du Tourisme de Hong Kong !
C’est bientôt la chandeleur et cette année j’ai décidé de troquer la classique (mais très bonne) crêpe au sucre contre un joli roulé de crêpes au matcha, crème mascarpone au yuzu et clémentines. Il semblerait que la photo de cette recette ait pas mal plu sur Instagram lorsque je l’ai postée donc à la demande générale voici la recette.
Je ne sais pas vous mais moi j’ADORE les marrons ! Juste cuits au four, en crème, glacé,… c’est un peu l’ingrédient qui sent bon l’hiver et que j’ai hâte de retrouver à chaque fin d’année. Du coup, je vous laisse imaginer mon bonheur quand Grand Frais m’a donné pour mission de réaliser une recette de fêtes à base de marrons glacés ! On en trouve toujours là-bas à cette période avec une sélection d’autres produits de fêtes comme les fruits confits, les fruits secs, les confitures de noël,… Et bien sûr, quoi de plus festif que le Mont-Blanc comme dessert à base de marrons. Dans cette version, j’ai décidé de décliner le Mont-Blanc façon pavlova et de le transformer en jolie couronne de Noël. De quoi épater tous les convives ! Vous verrez c’est une recette super simple à réaliser, elle demande juste un peu de temps pour la préparation de la meringue mais en dehors de ça, c’est un véritable jeu d’enfant. Et en plus l’effet WOW est assuré, promis !
S’il y a bien une saison qui me donne envie de voyager c’est bien la période des fêtes de fin d’année. Découvrir un pays, une ville, au travers de ses traditions de noël c’est toujours un peu spécial et ça nous plonge dans une ambiance toujours très chaleureuse. Malheureusement comme vous le savez, en ce moment c’est un peu compliqué de voyager alors c’est au travers de la cuisine que je m’évade en attendant de pouvoir de nouveau croquer le monde à pleine dents. C’est d’ailleurs ce que m’a proposé l’Office du Tourisme Irlandais, en m’invitant à me plonger dans les traditions irlandaises au travers d’une recette typique. C’est auprès de la talentueuse autrice Irlandaise Trish Deseine que je suis allée recueillir les secrets de cette fameuse recette : celle des Mince Pies.
Si l’origine des Mince pies est anglaise, il faut admettre que les Irlandais ont adopté et adapté la recette avec talent. Ces petites tartelettes traditionnellement réalisées avec du beurre, de la farine, une pâte à tarte, un œuf, de la mincemeat (garniture comprenant des fruits secs et des épices) et du sucre glace n’ont pas toujours été complètement sucrées. Au début, les mince pies contenaient du boeuf haché mais cette version a progressivement disparu avec le temps pour devenir le dessert incontournable des fêtes de noël dans les pays anglo-saxons. Aujourd’hui, dès début décembre, les mince pies envahissent toutes les pâtisseries, cafés et restaurants irlandais. Accompagnées de thé, café ou d’un vin chaud, servies avec de la crème fouettée ou du brandy butter, elles sont vraiment un prétexte à se réunir en anticipation des fêtes de Noël. Très faciles à faire soi même à la maison elles se joignent au Christmas Cake et Christmas pudding dans les recettes incontournables de la saison festive. Certains fans tiennent à en manger une par jour en décembre comme une sorte de calendrier de l’Avent ! Mais le plus important mangeur de mince pies reste le Père Noël, (Santa Claus en Irlande). Chaque enfant, avant d’aller se coucher le 24 décembre, aime préparer une petite assiette de mince pies et un verre de remontant pour requinquer Santa pendant sa longue nuit, sans oublier une carotte pour Rudolf ! Tout est posé avec soin devant la cheminée en même temps que les chaussettes et chaussons.
Vous le savez par ici, je suis une grande fan de tartes donc cette recette ne pouvait que me plaire. Je n’ai pas l’habitude d’en préparer avec des fruits secs ou de l’alcool, mais il faut avouer que cette recette est un vrai petit délice et je comprends pourquoi les Irlandais en raffolent ! Les fruits confits, les épices, la pâte sablée… tout nous plonge dans les senteurs et saveurs de noël. Le petit plus c’est que les mince pies sont très faciles à réaliser et qu’on peut s’amuser à les décorer un peu comme on le souhaite, il suffit de laisser libre cours à son imagination. Maintenant que j’ai découvert cette recette, je n’ai plus qu’une envie, partir en Irlande pour en déguster et découvrir les autres spécialités du pays comme le Porter Cake, les Hot Cross Buns, ou le fameux Irish Stew.
Et parce que la cuisine c’est surtout du partage, j’ai à mon tour dévoilé les secrets d’une recette traditionnelle française à Trish pour qu’elle la réalise à son tour. Et c’est donc une délicieuse bûche au chocolat qu’elle a dû préparer. La tradition de la bûche de Noël serait née d’un rite païen marquant la fin du solstice d’hiver dans les pays du Nord de l’Europe. Et bien avant d’être un délicieux dessert de fêtes, la bûche était une véritable bûche de bois ! Elle était mise dans l’âtre de la cheminée après avoir été bénie pour protéger la maison et ses habitants puis brûlée à l’occasion du solstice d’hiver puis de la veillée de Noël. Le choix de la bûche était important car elle était symbole de vie, de lumière et de purification dans les nuits hantées d’êtres surnaturels. La bûche de Noël en pâtisserie a elle fait son apparition vers 1870. Plusieurs pâtissiers se disputent la paternité, mais ils ont juste eu l’idée en même temps d’un roulé qui ressemble à une bûche.
Et si je vous disais que pour Noël vous allez pouvoir vous préparer un délicieux dessert de fêtes vegan ! Et oui, pour cette nouvelle recette imaginée pour Grand Frais, j’ai décidé de me lancer un double défi. Au départ, Grand Frais m’a proposé de créer une recette à base de fruits exotiques. C’est vrai qu’en ce moment c’est la période idéale et qu’il y en a à foison sur les étales du magasin : ananas, litchi, fruits de la passion, noix de coco, mangue,… mais ces fruits sont aussi les ingrédients parfaits d’un dessert de fêtes plutôt léger et frais, exactement ce qu’il nous faut pour terminer en douceur un gros repas. Et parce qu’on manque souvent d’option pour les amis ou membres de la famille qui sont vegan, j’ai décidé de réaliser ce petit dessert sans aucun produit d’origine animale. Un défi personnel qui s’est transformé en belle découverte car sans me jeter des fleurs, ce dessert est une vraie petite tuerie. Même si je ne suis pas vegan, je serai prête à en manger toutes les semaines !
Bref, maintenant que je vous ai bien mis l’eau à la bouche, je vous laisse avec la recette ! J’espère qu’elle vous plaira, et que vous serez nombreux (vegan ou non) à la réaliser pour les fêtes.
Et si on faisait voyager nos papilles pendant quelques minutes, à défaut de pouvoir voyager à travers le monde en ce moment ?! C’est un peu ce que propose aujourd’hui l’Office du Tourisme de Hong Kong avec son Wine&Dine Festival Online. Depuis 2009, la région de Hong Kong organise un grand festival culinaire qui a pour but de mettre en avant la gastronomie hongkongaise et de faire découvrir au monde ses saveurs, ses origines et ses dernières tendances en matière de vins et spiritueux. Mais vous vous en doutez, avec la situation actuelle, un peu compliqué de mettre en place un tel festival. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’une solution a été trouvé et que cette année l’évènement a lieu en ligne ! L’avantage c’est qu’on n’a pas besoin de faire des heures d’avion pour y participer et qu’on peut accéder à une multitude de Masterclass de son canapé (ou son lit au choix^^). Du 11 novembre au 15 décembre, vous pouvez avoir gratuitement accès à des Masterclass cuisine avec les meilleurs chefs de Hong Kong et des 4 coins du monde, et ainsi par exemple apprendre à réaliser du riz frit avec le chef Adam Wong du célèbre Forum Restaurant de Hong Kong ou encore un saumon poêlé et sauce gribiche avec le chef étoilé Shane Osborn (que vous avez pu apercevoir dans la géniale série Netflix The Final Table). Côté vin et spiritueux vous pouvez participer à des séances de dégustation de vin, de saké ou de gin avec de véritables experts. Bref, vous l’aurez compris, cette année le Hong Kong Wine & Dine Festival vient jusqu’à nous et nous offre une expérience encore plus immersive ! Je vous donne rendez-vous par ici pour voir toutes les masterclass proposées.
Et là vous vous dites surement, ça a vraiment l’air génial tout ça mais où est la recette ? Et bien toute cette petite intro, c’est pour vous dire que l’Office du Tourisme de Hong Kong m’a proposé de participer à ce fameux Wine & Dine Festival et de créer à mon tour une recette en accord mets et vin (ou plutôt champagne, vous verrez…) que vous pourriez refaire chez vous, et ainsi voyager à Hong Kong depuis votre cuisine. Cette recette que j’ai réalisé, fait parti d’un menu à 6 mains que nous avons imaginé avec Anne du blog Papilles & Pupilles et Mégane du blog Meg&cook. Anne s’est lancée dans un délicieux Porc à l’aigre douce comme à Hong Kong et Mégane dans de très gourmandes Nouilles sautées à la Hongkongaise. Quant à moi, je me suis chargée du dessert, et il était évident que je ne pouvais pas passer à côté de l’une des grandes spécialités de Hong Kong : la tarte aux oeufs.