Vous avez été nombreux à me demander la recette de cette fameuse tarte rustique suite à mon post Instagram, du coup je me suis dit que ça allait être mon petit cadeau de noël pour vous. Je vous partage enfin la recette par ici !
Cette tarte c’est vraiment un de mes réconforts ultime, elle est super facile à faire, très graphique et surtout très très bonne. J’adore la faire pendant la période des fêtes car elle éblouit toujours mes convives, et ça, ça fait toujours plaisir on ne va pas se mentir. Allez trêve de bavardage car je sais que vous l’attendez depuis longtemps, voici donc ma recette.
Noël approche à grands pas et il est temps de commencer à penser au repas du réveillon. Cette année j’ai voulu retourner un peu à l’essentiel et vous partager une recette de bûche traditionnelle. Et ça tombe plutôt bien puisque la marque Miele avec qui je collabore depuis quelques mois déjà m’a mise au défi d’imaginer une recette de dessert de fêtes pour notre dernière action de l’année. Alors même si nous partons dans la tradition, il fallait quand même que je vous propose quelque chose qui sort un peu de la sempiternelle bûche avec sa crème au beurre. Pour cette recette, je vous propose de réaliser un délicieux biscuit noisette garni d’une généreuse crème mousseline au caramel beurre salé et de noisettes caramélisées pour encore plus de gourmandise. Car franchement, qui n’aime pas les noisettes et le caramel beurre salé ?
Et le petit plus de cette recette, c’est qu’elle n’est pas bien compliqué à réaliser. Alors certes elle prend un peu de temps donc il faut s’y prendre un peu à l’avance et s’organiser mais sinon, pas besoin d’avoir douze mille moules différents, de réaliser des inserts, ou de s’y prendre 3 jours à l’avance. Si vous vous y mettez le matin ou la veille, ça suffira amplement et je vous promets que le résultat sera à la hauteur de vos attentes.
C’est un évènement qu’on célèbre de moins en moins en France et pourtant Halloween est une de mes fêtes préférées ! C’est l’excuse parfaite pour acheter toutes les cucurbitacées qui passent sur mon chemin : potimarron, butternut, jack be little, baby boo, patidou,… que ce soit pour les manger ou pour les utiliser en déco, elles finissent toutes chez moi. C’est aussi le moment où on peut se déguiser, se maquiller et s’amuser à se faire peur entre amis même quand on a plus de 30 ans haha. Et puis surtout c’est une super occasion pour faire preuve de créativité en cuisine. Chaque année, j’essaie de faire un gâteau ou une pâtisserie pour l’événement et cette fois-ci j’ai décidé de me lancer dans les fameuses brioches citrouille. Cela fait un petit moment que j’en vois passer sur les réseaux et je me suis dis qu’il était temps que je me lance dans leur réalisation. Pour cette version, on part sur une brioche bien dorée autour et ultra moelleuse à l’intérieur grâce à la cuisson combinée vapeur de mon four Miele DGC 7860. Pas de panique pour celles et ceux qui n’ont pas ce four ou la fonction combinée vapeur sur le leur, vous pouvez tout simplement ajouter un bol d’eau chaude dans votre four lors de la cuisson pour créer l’effet de vapeur.
Et pour encore plus de gourmandise, j’ai décidé de fourrer mes petites brioches citrouille avec du chocolat. Oui je suis un petit démon de la tentation je l’avoue… mais en même temps c’est tellement meilleur avec.
Allez, j’arrête de vous faire baver et je vous laisse avec la recette, vous me remercierez plus tard !
De retour par ici avec une petite recette qui sent bon l’automne. Oui je l’avoue, l’automne est ma saison préférée mais en même temps c’est celles des poires, des pommes, des noisettes, des courges,… bref TOUT ce qu’on préfère non ? Pour cette recette j’ai décidé de partir sur quelque chose de très simple comme à mon habitude, avec une recette de pâte feuilletée maison très facile à réaliser et au final assez peu d’ingrédients pour un résultat très gourmand. Je vous laisse donc découvrir ma recette de tartes fines au chocolat, poires et noisettes.
Ça fait un bon moment que je ne suis pas venue poster une recette par ici et j’avoue que j’ai un peu honte d’avoir laissé ce blog un peu à l’abandon. Il faut dire que cette première moitié d’année a été plus que chargée et qu’elle est passée à une vitesse incroyable. Mais je suis contente de trouver aujourd’hui le temps de revenir par ici et de vous partager une recette bien gourmande que j’ai réalisée un peu par hasard ce weekend. J’avais des petites mûres que j’avais acheté il y a quelques jours qui commençaient doucement à dépérir dans le frigo, et puis surtout ENFIN une journée de libre à ne rien faire à la maison. J’ai donc doucement pris le chemin des fourneaux pour préparer ces petites tartes briochées aux mûres, groseilles et basilic. À dévorer pour le goûter ou vos petits déjeuners de l’été.
Chaque année à l’arrivée de la chandeleur, je me creuse un peu la tête pour essayer de trouver une recette originale pour célébrer cette journée de gourmandise. L’année dernière je vous avais proposé ce délicieux roulé de crêpe au matcha, ce qui me mettait un peu de pression pour faire encore mieux cette année. Et puis finalement je me suis dit, « quoi de mieux qu’une bonne recette de crêpe classique ? ». Car finalement est ce que ce ne serait pas ça le meilleur pour la chandeleur ? Une bonne crêpe dans son plus simple appareil avec juste un peu de sucre ou du miel et un filet de jus de citron. On ne le dira jamais assez, la simplicité ça a du bon !
Petite je n’ai jamais vraiment été fan de la tarte au citron. Trop acide, trop sucrée, ou un goût trop chimique qui rappelle certains désodorisants ou liquides vaisselle (je sais que vous voyez de quoi je veux parler haha). Seulement voilà, la tarte au citron est un des desserts préférés de mon père, donc lorsque je me suis prise de passion pour la pâtisserie et surtout les tartes, il a fallu que je trouve LA recette de tarte au citron idéale pour régaler le padre. Et le miracle s’est produit il y a quelques années lorsque j’ai découvert la tarte au citron de Jacques Genin. La meilleure que j’ai pu manger dans ma vie ! Et par chance, la recette a été partagée dans l’un des tout premiers numéros de Fou de pâtisserie. Autant vous dire qu’à l’époque je me suis jetée sur le magazine juste pour pouvoir récupérer cette recette. La mythique tarte au citron de Jacques Genin est une tarte citron – basilic. Je l’ai testé, et je les refaite à ma sauce pour trouver ma version à moi, un peu plus classique et un peu plus gourmande je l’avoue. Ici pas de basilic, mais toujours un bon goût de citron, un fond de tarte aux flocons d’avoine et une jolie meringue italienne pour contrebalancer l’acidité. Et promis, même si cette tarte a une belle meringue, elle n’est pas trop sucrée, juste ce qu’il faut !
Cela va peut-être vous étonner mais l’automne est ma saison préférée de toutes ! Bon cela a peut-être à voir avec le fait que je suis née en octobre… mais pour moi la vraie raison c’est parce que c’est la saison de tous mes ingrédients préférés : les pommes, les poires, les noisettes, les châtaignes, les champignons, et puis surtout… les courges !! J’attends cette période avec impatience chaque année pour préparer de nouvelles petites recettes réconfortantes à l’image de celle que je vous propose aujourd’hui. J’ai une grosse passion pour les babkas (comme beaucoup d’entre nous je pense haha), il était donc obligatoire pour moi de fusionner mon amour pour les courges à celui des babkas pour en faire une délicieuse recette. Je vous laisse donc en compagnie de cette Babka à la courge, à la fois gourmande, réconfortante, mais pas trop sucrée (vous pourrez donc la tartiner de bonnes choses, lorsque vous aurez besoin d’une très grosse dose de réconfort). J’espère qu’elle vous plaira autant qu’à moi.
Pour celles et ceux qui me suivent sur Instagram, vous avez pu voir que début Juillet j’ai eu la chance de me rendre en Italie, plus précisément à Asiago pour découvrir l’envers du décor de la fameuse marque Rigoni di Asiago. Une entreprise familiale à taille humaine derrière la désormais célèbre Nocciolata, vous savez cette délicieuse pâte à tartiner au bon goût de noisette.
Ce petit voyage inaugurait ma collaboration avec la marque, puisque j’ai la chance d’être aujourd’hui « ambassadrice » de la Nocciolata Bianca. Et autant vous dire que j’en suis ravie car la Bianca, est tout simplement ma pâte à tartiner préférée de la gamme Nocciolata. Une pâte à tartiner bio, comme tous les produits Rigoni di Asiago, riche en noisettes et terriblement addictive.
Bref, en tant qu’ambassadrice, je vais avoir la joie de vous proposer quelques recettes pour déguster votre Nocciolata Bianca autrement.
Pour cette première recette qui sent bon la rentrée des classes, c’est un aller-retour direct pour l’enfance avec un biscuit que j’adorais dévorer en rentrant de l’école petite : les lunettes. Un sablé originaire de la Drôme et qui serait en réalité un dérivé d’un biscuit Italien (le milanais) dont la fabrication remonte au Moyen-Âge. Un joli clin d’œil et une façon toute trouvée de faire le lien entre une spécialité française et la jolie marque Italienne Rigoni. Dans ma version, les lunettes ne sont pas garnies de confiture comme le veut la tradition, mais de Nocciolata Bianca, pour encore plus de gourmandise.
Avant de vous laisser avec la recette, j’ai une petite surprise à vous dévoiler. À l’occasion de la « Tournée Gourmande Nocciolata » à travers les recettes typiques de France, Rigoni di Asiago et moi-même avons le plaisir de vous offrir un super Kit Nocciolata pour pouvoir vous régaler et pourquoi pas refaire ma recette chez vous.
CONCOURS TERMINÉ
Pour participer, il vous suffit de : 1. Laisser un commentaire sous cet article en me disant avec quoi on mange la Nocciolata Bianca à St Tropez ? (Indice à retrouver sur le compte @NocciolataFrance 😉 ) 2. De vous abonner au compte @nocciolatafrance et de me laisser votre pseudo en commentaire pour doubler vos chances Vous avez jusqu’au 5 octobre pour participer. Le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses et annoncé ici. Bonne chance.
Grosse passion pour la pêche de vigne par ici. Non seulement parce qu’elle est très bonne avec son petit côté acidulé et sa chair bien juteuse, mais aussi parce qu’elle est magnifique. Couper une pêche de vigne a toujours un petit côté magique pour moi, à chaque fois je découvre avec un certain émerveillement la beauté des couleurs qui se cachent en son coeur. Entre le rouge bien vif, presque sang, et la douceur des touches de blanc. Impossible de ne pas prendre de plaisir à les prendre en photo. Une fois l’oeil rassasié, on passe au fourneau pour préparer un petit crumble tout simple mais bien gourmand.